Du sang, de la sueur et des bières promis au Drowners Show.
Musique
Parfois, les bars ne sont pas le pire endroit au monde pour rencontrer des mecs. Parfois, c'est carrément parfait, et pour démarrer un groupe, ça peut être encore mieux. Les rockers new-yorkais des Drowners l'ont prouvé, alors maintenant c'est de la science.
Les artistes aux vues similaires Matt Hitt (chanteur/guitariste), Jack Ridley (guitariste) et Erik Snyder (bassiste) se sont tous rencontrés dans des pubs du centre-ville de New York au début de 2012. Après que quelques démos aient été échangées entre eux dans les mois suivants, le batteur Lakis Pavlou a rejoint le groupe et a aidé à organiser le son grunge-rock qui repose sur une véritable esthétique garage.
Par définition, vos influences affectent votre musique. Les chansons ont légèrement changé depuis que je les ai écrites pour la première fois à cause de la façon dont chaque membre joue... Je suppose qu'elles sont sorties un peu plus garage parce que notre terrain d'entente est le rock n roll des années 50 et le post-punk des années 80. Quand nous enregistrions, nous essayions de faire en sorte qu'il ne soit pas si poli et lisse plutôt qu'intentionnellement grungy ou garage, dit les Drowners.
Le quatuor prend la route durement pour élargir sa base de fans et se préparer à toute l'écriture, l'enregistrement et le mixage qui l'attend. La tournée actuelle d'un mois soutient l'EP Between Us Girls, disponible sur iTunes et lors du spectacle. La première version sortira plus tôt l'année prochaine sur le Frenchkiss label auquel les Drowners ont récemment signé.
Alors, que fait un Drowner en tournée ? On peut s'habituer à tout au bout d'un moment. Conduisez toute la journée, mangez de la merde, jouez un spectacle, buvez un tas d'alcool, partagez 2 lits entre 3 gars, faites du skateboard aux arrêts de camions, évitez Waffle House... et recommencez.
Les Drowners traversent Denver le 11 août, se produisant avec des locaux Rouge Orange Jaune et Jour férié au Hi-Dive.